Muriel Andrin, CinéFemme.
(…)”Tributaire du surréalisme, le couple singulier et lunaire formé par Stella et Frank, personnages magnifiques portés par la beauté du désespoir, incarne ce qui pourrait arriver de plus tragique à notre plat pays et au monde : la perte de tout humour. Dans son explosion de couleurs, l’excès de ses mots et la poésie de ses folles péripéties, le film de Martine Doyen réfute ce destin. Witz choisit plutôt de nous piquer les yeux (par le rire, par les larmes) et, loin de l’anesthésie des cœurs, illumine inéluctablement nos âmes.”
Thibaut Grégoire, Surricate Magazine
(…)”Avec ce troisième long métrage, Martine Doyen (Komma, Hamsters) affirme sa singularité dans le paysage du film d’auteur belge, dont elle est probablement l’une des voix les plus intéressantes. Si l’on ne sait trop comment inscrire le film dans une case ou dans l’autre (comédie, drame, comédie dramatique, comédie romantique ?), c’est précisément car il prend comme « sujet », ou comme fondement, cette interrogation sur le basculement d’un ressenti à un autre : comment quelque chose de dramatique, de sinistre, peut subitement devenir drôle ou vice-versa” (…)
Witz, la formule magique de la mécanique du rire
Fred Arends, Cinergie.
“Après le détonant Hamsters (2017), Martine Doyen signe une histoire d’amour décalée, drôle et réjouissante où se mêlent avec grâce une mise en scène inventive et le talent de deux comédiens généreux et émouvants : Sandrine Blancke et Sam Louwyck”.
Aurore Engelen, Cineuropa, quelques articles.
“La réalisatrice porte un regard décalée sur une société anxiogène, où les émotions sont un Everest à reconquérir. Stella ne rit plus, mais elle ne pleure plus non plus. Plus encore qu’à aimer ou rire, elle doit apprendre à ressentir, à sentir à nouveau.”
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